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Le combat est terminé et c’est le modèle SaaS qui l’a remporté. Les sociétés de logiciels qui attendent trop longtemps pour passer vers un modèle à la demande perdent des parts de marché importantes et deviennent rapidement déconnectées de leurs clients.

En voilà des propos audacieux! Vous trouverez dans les pages qui suivent, des points importants concernant le passage vers un modèle à la demande (SaaS). Ce livre blanc est basé sur des entretiens avec des centaines de fondateurs d’entreprises, d’investisseurs et de centres d’affaires pour entreprises TI/Web en démarrage; ainsi que sur des projets que nous avons réalisés au fil des années pour des clients que nous avons aidés à faire le saut vers un modèle SaaS.

Le parcours entre un FIL vers un ASP jusqu’au SaaS

Depuis l’aube de l’informatique, il existe une tension entre l’informatique centralisée et l’informatique axée sur l’utilisateur. Les ordinateurs centraux étaient gérés de façon centralisée, mais dès que les prix du traitement informatique ont diminué, ils ont cédé leur place aux mini-ordinateurs et mini-serveurs. On doit ce phénomène au coût élevé d’une bande passante. Jim Gray, de chez Microsoft a déjà passé la remarque suivante : « Comparé au coût de déplacement des bits, tout le reste est gratuit. » Les entreprises ont alors installé des serveurs à proximité des utilisateurs finaux.

Cependant, cette proximité avait un coût. Les entreprises ont acheté des progiciels qu’elles ont adaptés à leurs propres besoins et dont elles ont assumé la gestion.

Ceci a causé de la fragmentation dans le marché et les fournisseurs de logiciels devaient soutenir un large éventail de versions et de mises en place différentes et au même moment, ce qui réduisait leur capacité d’innover.

Au cours des années 90, pour remédier à cela, de nombreux fournisseurs de services applicatifs (ASP) sont apparus. Leur offre n’était pas sans rappeler les services informatiques gérés présentés par IBM, EDS, CGI et autres, qui avaient été offerts par le passé, mais elle incluait l’exploitation — et parfois la propriété — du serveur et de l’application. Ils exploitaient un logiciel conçu par quelqu’un d’autre et essayaient de simplifier les activités.

Il existait encore, malheureusement, une grande variété de logiciels client.

Ces ASP devaient composer avec cet étalement, en plus d’un marché point com en perte de vitesse; beaucoup d’entre eux ont échoué. Étaient-ils dans l’erreur? Non, la seule faute que ces entreprises avaient commise est celle d’être arrivé trop tôt sur un marché qui n’était pas encore mûr.

Pendant ce temps, une nouvelle génération d’entreprises de logiciels a commencé à se développer avec le Web dans leur ligne de mire. Des sociétés comme Salesforce.com, Taleo, Netsuite et bien d’autres, ont tracé une nouvelle ligne de démarcation entre eux et leurs clients en choisissant d’acquérir tout le logiciel plutôt que d’acheter des licences des autres. S’inspirant d’Henry Ford, les clients pouvaient avoir la version du logiciel qu’ils désiraient pourvu que celle-ci fût à jour et qu’eux l’avaient livrée par le biais d’un navigateur Web.

Et c’est ainsi que le marché du logiciel en tant que service (Software-as-a-Service) est né.

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