La Poutine. Le sirop d'érable. Les castors. Ce sont des mascottes canadiennes facilement identifiables. Et maintenant, nous avons notre propre stratégie d'adoption infonuagique gouvernementale, introduisant souveraineté et juridiction des données, à l'échelle gouvernementale, faisant en sorte que les données restent à la maison. Le nuage du Canada est prêt.
Wolverine est l’un des personnages les plus formidables de l’univers de Marvel Comics. Ce n’est pas par sa férocité, ni par le fait qu’il soit canadien ni par ses griffes métalliques indestructibles qui lui sortent des poignets; c’est parce que, peu importe ce qui lui arrive, peu importe le mal qu’on lui fait, il possède un don de guérison qui lui permet de revenir et de continuer à se battre, maintes et maintes fois. Wolverine peut guérir ses blessures en faisant sortir les balles de son corps ou encore, se régénérer, s’il le faut, après une explosion atomique. Il incarne la résilience et représente, de façon métaphorique, les qualités recherchées dans une application infonuagique — un soldat qui n’arrête jamais de se battre pour votre entreprise.
cloud.ca — l’Infrastructure as a Service (IaaS) du Canada — a obtenu sa certification SOC 2 de type 1.
L’énergie renouvelable est un sujet dont on parle beaucoup dans le secteur infonuagique dernièrement. Les centres de données appartenant aux grosses entreprises comme Amazon Web Services (AWS), Microsoft et Google nécessitent beaucoup d’énergie, voire ÉNORMÉMENT d’énergie. Un seul centre de données consomme l’équivalent en énergie d’environ 25 000 foyers par année. Les centres de données sont d’importants consommateurs d’énergie et ils subissent une pression croissante pour qu’ils fassent preuve de responsabilité sociale et de gestion durable.
CloudOps aide les entreprises à profiter de la puissance des services infonuagiques depuis presque aussi longtemps que ces services existent. Nous avons été des adopteurs précoces et des prêcheurs d’AWS et des technologies infonuagiques de source libre comme OpenStack, CloudStack et Docker. Nous connaissions, tout comme nos clients, la valeur d’une infrastructure évolutive, libre-service et fonctionnant par API. Cependant, tandis que le secteur prenait de l’expansion, la même question nous revenait : puis-je réaliser cela au Canada?
Chez CloudOps, nous recevons de nombreuses demandes de propositions de la part de personnes très expérimentées dans les domaines de la virtualisation, des réseaux de stockage (SAN) et des serveurs dédiés, pour des organisations qui désirent migrer vers une plateforme Iaas infonuagique à partir de leur serveur physique local ou autogéré. On nous pose fréquemment des questions à propos du niveau de stockage RAID utilisé dans le stockage infonuagique et combien de temps faut-il pour augmenter la quantité de stockage disponible pour un serveur. La question de l’utilisation d’un réseau de stockage est également soulevée, car celui-ci est perçu comme étant plus lent.
Au mois de mai dernier, une équipe de CloudOps a participé à Citrix Synergy à Orlando, en Floride. Pour ceux d’entre vous qui ne la connaissent pas, il s’agit d’une conférence étalée sur trois jours, axée sur la mobilité d’entreprise pour les partenaires et les clients de Citrix; c’est aussi un endroit pour faire du réseautage et s’amuser un peu.
cloud.ca est une IaaS régionale vérifiée et « Citrix Ready », cela signifie qu’on peut lui faire confiance pour rehausser les solutions de Citrix pour les infrastructures infonuagiques et les charges de travail informatiques de l’utilisateur final. Ainsi, il y a quelques semaines, nous avons été invités à démontrer notre plateforme à Citrix Synergy à Orlando, en Floride.
J’ai écrit précédemment sur cloudops.com à propos des différences entre l’hébergement et le nuage. Pour continuer sur le thème d’opposer le nuage IaaS (Infrastructure as a service) à des éléments qui sont fréquemment confondus avec le nuage, dans le présent article, je comparerai le nuage «IaaS» à la virtualisation. Premièrement, un «SaaS» (Software as a service) n’est pas un nuage, même s’il peut fonctionner sur un nuage. Ici, je ferai exclusivement référence à un nuage «IaaS».
Ne pas avoir les bonnes TI, c’est angoissant. La réduction des coûts pousse les directeurs des services financiers à adopter le nuage public, mais la véritable valeur d’un nuage vient de l’agilité commerciale dont il fait preuve.
