cloud.ca — l’Infrastructure as a Service (IaaS) du Canada — a obtenu sa certification SOC 2 de type 1.
L’énergie renouvelable et le nuage IaaS canadien
L’énergie renouvelable est un sujet dont on parle beaucoup dans le secteur infonuagique dernièrement. Les centres de données appartenant aux grosses entreprises comme Amazon Web Services (AWS), Microsoft et Google nécessitent beaucoup d’énergie, voire ÉNORMÉMENT d’énergie. Un seul centre de données consomme l’équivalent en énergie d’environ 25 000 foyers par année. Les centres de données sont d’importants consommateurs d’énergie et ils subissent une pression croissante pour qu’ils fassent preuve de responsabilité sociale et de gestion durable.
Trois bonnes raisons d’utiliser un nuage régional IaaS
CloudOps aide les entreprises à profiter de la puissance des services infonuagiques depuis presque aussi longtemps que ces services existent. Nous avons été des adopteurs précoces et des prêcheurs d’AWS et des technologies infonuagiques de source libre comme OpenStack, CloudStack et Docker. Nous connaissions, tout comme nos clients, la valeur d’une infrastructure évolutive, libre-service et fonctionnant par API. Cependant, tandis que le secteur prenait de l’expansion, la même question nous revenait : puis-je réaliser cela au Canada?
Voici trois raisons pour lesquelles le stockage infonuagique Iaas de cloud.ca va vous contrarier
Chez CloudOps, nous recevons de nombreuses demandes de propositions de la part de personnes très expérimentées dans les domaines de la virtualisation, des réseaux de stockage (SAN) et des serveurs dédiés, pour des organisations qui désirent migrer vers une plateforme Iaas infonuagique à partir de leur serveur physique local ou autogéré. On nous pose fréquemment des questions à propos du niveau de stockage RAID utilisé dans le stockage infonuagique et combien de temps faut-il pour augmenter la quantité de stockage disponible pour un serveur. La question de l’utilisation d’un réseau de stockage est également soulevée, car celui-ci est perçu comme étant plus lent.
cloud.ca participe à Citrix Synergy
Au mois de mai dernier, une équipe de CloudOps a participé à Citrix Synergy à Orlando, en Floride. Pour ceux d’entre vous qui ne la connaissent pas, il s’agit d’une conférence étalée sur trois jours, axée sur la mobilité d’entreprise pour les partenaires et les clients de Citrix; c’est aussi un endroit pour faire du réseautage et s’amuser un peu.
La démo de cloud.ca dévoilée à Citrix Synergy
cloud.ca est une IaaS régionale vérifiée et « Citrix Ready », cela signifie qu’on peut lui faire confiance pour rehausser les solutions de Citrix pour les infrastructures infonuagiques et les charges de travail informatiques de l’utilisateur final. Ainsi, il y a quelques semaines, nous avons été invités à démontrer notre plateforme à Citrix Synergy à Orlando, en Floride.
IaaS infonuagique vs virtualisation d’hébergement
J’ai écrit précédemment sur cloudops.com à propos des différences entre l’hébergement et le nuage. Pour continuer sur le thème d’opposer le nuage IaaS (Infrastructure as a service) à des éléments qui sont fréquemment confondus avec le nuage, dans le présent article, je comparerai le nuage «IaaS» à la virtualisation. Premièrement, un «SaaS» (Software as a service) n’est pas un nuage, même s’il peut fonctionner sur un nuage. Ici, je ferai exclusivement référence à un nuage «IaaS».
Le cloud selon cloud.ca
L’informatique en nuage s’est développée à partir de l’informatique à la demande et de l’informatique distribuée par réseau. Elle bénéficie des importants progrès survenus dans les domaines de la virtualisation, de l’allocation des ressources et des architectures partagées.
De nouvelles architectures dans un ciel rempli de nuages
L’infonuagique est victime de son propre succès. D’une part, les défenseurs du nuage ont fait tant de belles promesses : sans souci, clé en main, une technologie qui fonctionne, que parfois, la réalité peut décevoir. Pire encore, les nuages semblent immunisés contre les creux économiques; alors, les entreprises technologiques s’enveloppent presque toutes dans un manteau de nuage et tous les sites Web dynamiques se disent infonuagiques. Nous ne voulons pas nous enliser dans des définitions, mais toute discussion qui porte sur les nuages se doit de bien comprendre ces trois choses :
La performance des nuages
Les entreprises prennent un virage important dans la façon dont elles créent et mettent en œuvre leurs ressources de TI. Ce virage promet des économies grâce à la facturation à l’utilisation et une capacité d’évolution. Tout changement majeur dans les technologies de l’information pousse les professionnels à revoir leur stratégie applicative — voyez par exemple les systèmes clients/serveurs, le Web ou autres appareils mobiles. Aujourd’hui, l’infonuagique incite à faire une révision semblable des stratégies de TI. Mais les nuages en sont encore à leurs débuts. Nombre d’entreprises restent sceptiques face à l’informatique à la demande, car elles sont contraintes de reléguer leur contrôle des réseaux et des architectures sous-jacents sur lesquels fonctionnent leurs applications.